Dernière lecture en catégorie Noire pour le PAI 2020 !
Un polar ésotérique dans les rues de Toulouse, c’est pas commun…
Mais Gwenn-Aël nous y plonge jusqu’au cou dans Ahriman.

Dernière lecture en catégorie Noire pour le PAI 2020 !
Un polar ésotérique dans les rues de Toulouse, c’est pas commun…
Mais Gwenn-Aël nous y plonge jusqu’au cou dans Ahriman.
Parce que j’ai toujours prêté plus d’attention au texte d’une chanson qu’à sa musique, parce que la langue française peut être tellement bien mise au service de nos émotions et nos sentiments, j’ai envie de partager avec vous des textes d’artistes divers, qui m’ont touchée de près ou de loin, d’une manière ou d’une autre, ou qui m’ont juste fait sourire.
Ceux qui me connaissent bien ont déjà une petite idée des auteurs qu’ils vont retrouver ici, et certains seront cités plus souvent que d’autres.
J’en ai parlé avec mon Chéri il y a quelques jours, du coup j’ai eu envie de partager avec vous un poème : Page d’écriture, de Jacques Prévert, publié pour la première fois dans le recueil Paroles en 1946. Nous l’avons presque tous appris à l’école primaire, mais il est intemporel ! L’enfant qui refuse le monde des adultes – « en vers » et contre tout – ça vous parle ?
Lire la suiteCela fait plusieurs semaines que je pense à cette nouvelle rubrique, et je profite de ce début d’année pour la mettre en place.
Parce que j’ai toujours prêté plus d’attention au texte d’une chanson qu’à sa musique, parce que la langue française peut être tellement bien mise au service de nos émotions et nos sentiments, j’ai envie de partager avec vous des textes d’artistes divers, qui m’ont touchée de près ou de loin, d’une manière ou d’une autre, ou qui m’ont juste fait sourire.
Ceux qui me connaissent bien ont déjà une petite idée des auteurs qu’ils vont retrouver ici, et certains seront cités plus souvent que d’autres.
J’ouvre donc le bal avec une chanson de Jean-Jacques Goldman, dont les chansons m’ont bercée depuis ma plus tendre enfance. Aujourd’hui encore, j’aime l’écouter et… Veiller tard (1982):
Lire la suiteÇa y est, c’est la dernière chronique pour le PAI 2019, pour lequel je fais partie du jury cette année en catégorie Noire. C’est donc dans ce cadre que j’ai découvert le livre de Laurine Valenheler. Lire la suite
Une fois n’est pas coutume, j’ai eu envie de partager avec vous une soirée, une parenthèse, presqu’un voyage. Ce billet sera placé sous le signe de la poésie.
Chaque année, les JEP (Journées Européennes du Patrimoine) annoncent la fin de la saison estivale.
J’allai clore celle-ci par une expo de poésie illustrée près de chez moi : plume et pinceaux, c’est tout ce qu’il me fallait !
Je n’avais pas lu Franck Thilliez depuis longtemps. Trop longtemps. Aussi, dès que j’ai vu son dernier ouvrage en tête de gondole, je n’ai pu faire autrement que craquer ! Ma PAL étant pleine pour, au moins, les six mois à venir, je m’étais promis de l’alléger un peu avant de racheter des livres. Mais c’était sans compter sur ma faiblesse devant ce nom si cher aux amateurs de thrillers, dont je fais évidemment partie.
Mon calendrier de lecture – et donc mes publications – était réglé au cordeau jusque mi-octobre. Entre les livres que j’allais piocher au gré de mes envies, et ceux relevant d’un partenariat avec l’auteur ou l’éditeur, j’avais calé les dates afin de respecter les délais pour tout le monde.
Puis j’ai allumé ma télé. J’ai vu que les invités de la prochaine « Grande librairie » n’étaient autres que Douglas Kennedy, Bernard Minier et… Franck Thilliez !
Vous vous doutez bien qu’après les avoir écoutés une bonne heure et demie, ma belle organisation a volé en éclats… Donc pour une fois bien finir le mois, je vous livre à chaud (ou presque) mon ressenti sur ce petit bijou.
Cette semaine je vous parle d’un livre dont le titre sonne tellement juste qu’on pourrait se passer de résumé. Mais ce serait sans compter la plume un brin poétique de l’auteur, Frédérick Maurès.
Lire la suiteUn classique de la littérature contemporaine, dont je vous partageais les Premières Lignes il y a une quinzaine de jours. Je connaissais la trame et j’avais déjà lu quelques pages, mais c’est de manière surprenante que j’ai eu envie de me (re)plonger dans cet univers créé par Margaret Atwood. Lire la suite
J’ai refermé un Minier (Nuit) aux lignes pleines de neige, pour ouvrir ce Collette et parcourir les montagnes enneigées en pleine tempête ! Lire la suite
Ma lecture de ce roman et le billet qui en découle datent du mois de juillet, mais c’est finalement le bon moment pour le partager avec vous… Lire la suite