Un témoignage de plus ? Non ! Ce roman auto-biographique réserve bien des surprises, et je remercie l’auteure, Virginie Vanos de me l’avoir proposé et envoyé en service presse.

Un témoignage de plus ? Non ! Ce roman auto-biographique réserve bien des surprises, et je remercie l’auteure, Virginie Vanos de me l’avoir proposé et envoyé en service presse.
Lors d’un témoignage, les faits relatés par la victime sont rarement une partie de plaisir. Elle a dû prendre sur elle pour les assumer et les raconter au plus juste, avec ses souvenirs et ses émotions exacerbées. Je ne refuserai jamais de chroniquer un témoignage, et remercie Lorane Webart pour sa confiance en me soumettant le sien.
Nouveau billet pour ce rendez-vous hebdomadaire, initié par Aurélia du blog Ma Lecturothèque : les premières lignes d’un livre que j’ai lu et apprécié, ou qui se trouve toujours dans ma PAL. Lire la suite
« L’histoire vraie d’une petite fille trahie par Lire la suite
Dès qu’un témoignage sur la Seconde Guerre Mondiale me tombe sous la main, tôt ou tard je le lis. J’ai Une vie dans ma PAL depuis des mois, mais je n’avais pas l’esprit à m’y mettre. En tombant (presque) par hasard sur celui-ci à la bibliothèque, je me dis Lire la suite
J’ai toujours aimé les histoires vraies, les témoignages d’actes ou d’épreuves, les vies insolites voire exceptionnelles. J’avais déjà lu depuis longtemps L’instinct de mort (que Mesrine avait écrit en prison), Lire la suite
« J’ai presque envie de remercier cette épreuve que j’ai affrontée dès mon enfance, pour m’avoir ouvert les yeux sur la valeur de la vie et appris l’humilité. » Lire la suite
« Il sentait auprès de lui son égérie, son idéal, son fantasme féminin, mais pour cela, il avait franchi le cap fatal. Il était devenu déserteur, un homme à abattre ! Quelque part, au fond de lui, malgré le tragique de la situation, il était apaisé, il se sentait enfin lui-même. La mort ne lui créait plus de tourments, il humait cet instant d’euphorie comme un parfum interdit, il atteignait ce que son grand-père Sigmund appelait « l’harmonie universelle ». »